Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Les réseaux sociaux aident-ils à trouver un emploi ?

21 avril 2015

illustration

Cette image propose une prévention avec différent personnages illustrant les possibilités que peut avoir internet en terme de violence.

les 3 personnages illustrent la pédophilie.

Publicité
Publicité
21 avril 2015

conclusion

Pour conclure , nous pouvons dire qu'internet ne reflete pas son image de partage et de communication , il cache bien plus de points négatifs que nous pouvons pense comme la violence , surtout envers les enfants , et sous toute forme de violence comme la pedophilie , le harcèlement , les images pornograpiques . C'est en travaillant sur ce blog que je peux donc en déduire , qu'il faut donc fixer des limites d'usages d'internet et former ces jeunes à cet u sages . Nous pouvons donc partir sur cette nouvelle problématique , " Existe-t-il un remède face aux dangers que peut diffuser internet?".

21 avril 2015

les enfants en dangers sur internet?

Mauvaises rencontres, arnaques, harcèlement, contenus pornographiques, incitations aux comportements excessifs, les enfants sont encore trop victimes d'internet.

                                                            
Publicité
                                               

Malgré les différentes campagnes d'information, la sensibilisation du corps enseignant et le recours plus fréquent au contrôle parental, rien ne suffit à faire baisser le chiffre des nuisances et des agressions dont sont victimes les enfants sur le web.

Nombre de jeunes internautes continuent à se laisser piéger par l'ombre de la Toile. Mauvaises rencontres, arnaques, harcèlement, contenus pornographiques, incitations aux comportements excessifs… C'est ce que met en relief le nouveau sondage «Online Family &Schools Reports», mené par le célèbre éditeur de logiciels de sécurité Norton-Symantec, auprès de quelque 20 000 parents, enfants et enseignants de 24 pays.

Si les intérêts de ce géant américain se confondent avec le pessimisme d'un tel constat, ils traduisent pourtant une réalité observée par de nombreux organismes de défense des enfants face au danger du Net. Ainsi, 62 % des 8-17 ans du monde entier déclarent avoir déjà vécu une situation négative en ligne, 46 % en France.

22 % de petits Français déclarent même avoir déjà vécu une «grave situation en ligne», 39 % à l'échelle internationale. L'intrusion et l'agression par l'image violente ou pornographique, le chantage, le harcèlement ou le guet-apens d'une rencontre réelle sont les principales dérives.

A 13 ans, Mélanie a déjà fait les frais du cyber-harcèlement. Pour nuire à sa réputation, une collégienne de sa connaissance a fait des montages pornographiques à partir de ses photos de profil de Facebook et l'a menacée de diffusion sur Internet et par SMS pendant des mois. «J'étais honteuse, anéantie, se souvient la jeune fille. Je n'osais pas en parler car j'avais peur que tout le monde croit au montage, un véritable enfer !». Les photos ont été publiées mais le harcèlement a été reconnu par l'établissement scolaire qui a sanctionné l'auteur par une semaine d'exclusion. «J'en reste très profondément humiliée», dit Mélanie.

Des parents mieux informés

En tête des parasitages ordinaires, les jeunes internautes citent abondamment le contact établi par un «ami» inconnu sur les réseaux sociaux. Côté téléphone portable, 5 % des enfants avouent avoir été victimes de cybercriminalité.

Face à ces dangers, les parents semblent plus informés qu'avant. 98 % déclarent ne pas ignorer ce que font leur progéniture sur l'écran. Une vigilance toute relative, vu de la fenêtre des enfants, : 21 % d'entre eux estiment que leurs parents n'ont aucune idée de ce qu'ils font en ligne. Reste que de plus en plus de familles ont décidé d'agir en établissant des règles d'utilisation, 54 % concernant le temps passé sur Internet, 51 % concernant les sites Internet sécurisés, 45 % en appliquant le contrôle parental sur l'ordinateur familial.

L'étude Norton apporte un autre éclairage des usages Internet en se penchant sur le volet scolaire. 90 % des profs, 82 % des parents et 78 % des enfants pensent que les écoles devraient intégrer dans leur enseignement la technologie internet «autant que possible».

Des enseignants pour amis sur Facebook

Côté pratique, 12 % des enseignants français sont amis avec des élèves sur les réseaux sociaux tandis que 82 % pensent que le devenir les expose à des risques. Par ailleurs, ils sont 11 % à avoir vécu ou à connaître un professeur victime de «cyberbaiting». Ce terme désigne l'action d'étudiants qui attisent ou tourmentent un enseignant jusqu'à ce qu'il perde patience, moment où ils le filment avec leurs portables avant de publier la séquence sur Internet. L'objectif étant de causer préjudice à l'enseignant ou à l'établissement.

Différents dans leurs points de vue et leurs usages, parents, profs et élèves s'accordent pourtant tous sur un point : «L'école devrait en faire davantage pour éduquer les enfants à la sécurité sur Internet». Une prise de conscience qui progresse puisque plusieurs établissements sont récompensés tous les ans pour leur e-pédagogie lors de la remise des labels Ecoles-Internet. L'édition 2011, soutenue par le ministère de l'Éducation nationale, aura lieu le 23 novembre salon Educatec-Educatice à Paris.

Liens: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/11/15/01016-20111115ARTFIG00728-62-des-8-17-ans-victimes-d-agression-sur-le-web.php

Auteur: Delphine de Mallevoue-Lefigaro

Résumé:Cet article nous parle en général de l'hacèlement , des images pornographiques que vit nos enfants en voyageant sur les surfaces du net . Note un peu plus positive , les parents sont de mieux en mieux informés pour contredire ces violences. Malgré que cet article note que facebook est pratique pour la communication

16 mars 2015

Reportage sur un evenement portant sur un danger qu'internet entretien grace à ses reseaux

Ce garçon originaire de Menton a confondu sur un site de rencontre un pédophile. Arrêté par la police, ce dernier a reconnu les faits de « corruption de mineur sur Internet »

À 15 ans, peut-on avoir l’âme de justicier ? Ou s’agit-il d’un jeu d’ado ? Sans doute un peu des deux.

À Menton, Yanis, 15 ans a contribué à l’arrestation d’un cyber-pédophile. Ce jeune garçon scolarisé au lycée professionnel Paul-Valéry s’est inscrit sur un site de rencontres – Coco.fr – dans le but précis de piéger un pédophile.

En quelques heures seulement, mercredi dernier, Yanis est parvenu à faire arrêter l’homme de 53 ans qui l’avait approché sur la toile pour avoir des relations sexuelles avec lui.

Ce soir-là, ce jeune Mentonnais est devant son écran d’ordinateur. Comme de nombreux adolescents, il est connecté aux réseaux sociaux. Il y passe du temps pour discuter et échanger avec des jeunes de son âge.

Puis, il lui vient une idée.

La veille, lui et sa maman Saïda ont eu une discussion sur les dangers d’Internet et sur les mauvaises rencontres que l’on peut y faire, notamment des pédophiles. Alors, Yanis a l’idée un peu folle d’essayer de piéger l’un d’eux.

Un langage pornographique

« Je me suis connecté sur ce site car les copains m’avaient dit qu’il y avait des gens bizarres. J’ai créé un faux profil avec un pseudo. Je ne me rappelle plus ce que c’était exactement, mais je sais qu’il y avait le chiffre 15 pour mon âge, et à la rubrique âge j’ai mis 18 ans, sinon l’inscription n’était pas valide. Ensuite, j’ai mis que j’habitais à Menton. »

En quelques simples clics, voilà Yanis, 15 ans, inscrit sur un site de rencontres réservés aux adultes.

« Très vite, deux personnes m’ont envoyé un message privé. Une pour demander si je voulais dialoguer avec elle. L’autre m’a demandé si je voulais faire l’amour ! Je lui ai répondu que j’étais mineur. Il m’a dit qu’il avait compris. »

Une conversation s’engage. Depuis son ordinateur. Yanis est déterminé. « Non, je n’avais pas peur.Ça m’amusait et puis je voulais vraiment piéger ce mec. Lui donner la honte de sa vie.

« Il m’a posé plein de questions. Quelle taille avait mon pénis, si je me rasais, quelles positions je préférais… Ça me faisait rire mais en même temps j’étais dégoûté. C’était bizarre comme situation », raconte-t-il un peu gêné.

L’homme emploie un langage de plus en plus pornographique et lui envoie même en message privé une photo de son sexe. Mais Yanis poursuit son but et répond « oui »quand l’homme lui demande s’il est disponible le soir même pour le rencontrer. Son interlocuteur veut continuer la conversation au téléphone.

Le garçon accepte de l’appeler en numéro caché. « Je n’avais pas peur. Qu’est-ce que je risquais ? Il m’a alors posé les mêmes questions que sur le site, m’a demandé si j’avais des frères et sœurs et si j’étais seul. Il voulait que l’on se voie. On a décidé de se retrouver à Menton au rond-point des douanes en haut du Careï. Avant de raccrocher, il m’a dit :« Dépêche-toi, le temps tourne ». Et là il avait vraiment une voix bizarre. »

Yanis raccroche. Et il appelle son copain Sami.

« Il est arrivé et m’a dit :« Viens, on va attraper un pédophile. »J’ai cru qu’il se foutait de moi… »

Le but des deux garçons c’est de « donner une bonne raclée à ce mec et lui faire peur ! On a appelé un copain qui a le permis pour nous aider »,raconte Sami.

Un quart d’heure après avoir raccroché, Yanis rappelle l’homme.« Il devait être une heure du matin. Il était arrivé au point de rendez-vous. On est passé devant lui en voiture pour voir à quoi il ressemblait. »

Sami appelle la police

Mais les garçons hésitent. Yanis le rappelle. « Je lui ai dit que je n’avais pas vu sa voiture et que j’étais redescendu vers la gare routière. Il m’a répondu : « Je descends, je viens te chercher et on va chez moi ». On l’a vu arriver en voiture et se garer place du marché à côté de la gare routière. »

Le trio est posté un peu plus loin. « On n’avait pas peur. On rigolait de voir ce mec galérer pour rien. »

C’est Sami qui décide d’appeler la police. « Parce que quand j’ai vu ce gars, j’ai compris que ça servirait à rien de lui casser la gueule. Il fallait aller plus loin ».

Au téléphone, la police croit d’abord à un canular. « Mais ils sont quand même venus. Ils étaient deux en civil avec une voiture banalisée. »

L’homme, lui, est toujours là sur le parking du marché appuyé contre sa voiture.« Il ne se doutait de rien,poursuit Yanis. On a expliqué aux policiers pourquoi on était là. Tout à coup, l’homme est rentré dans sa voiture pour repartir et c’est là qu’ils sont allés vers lui. Ils ont d’abord discuté avec lui, puis il y en a un qui est revenu vers nous et nous a dit : ‘‘On va l’emmener au commissariat car il donne de drôles de réponses ». En fait, l’homme n’avait pas l’air de comprendre que j’étais un enfant. »

« Moi, je voulais juste piéger un pédophile. C’est tout. Quand je pense qu’en quelques heures, tout seul, j’en ai coincé un… »

 


La maman de Yanis : « Je suis fière de lui et rassurée aussi car il a pris des risques »

« Je n’étais absolument pas au courant de ce que faisait mon fils. Et quand je l’ai appris de la police, une fois au commissariat, j’ai eu très peur. Et ma première réaction, ça a été de l’engueuler. Et je me suis dit mais qu’est-ce qui lui a pris ? Yanis est tout le temps sur Facebook. Et la veille, ou le jour même, je lui avais dit d’être très vigilant, notamment au sujet des pédophiles car j’avais vu une émission à la télé juste avant. Aujourd’hui, avec le recul de quelques jours, je peux dire que je suis fière de lui et de ses copains. Mais ce sont encore des enfants et ils ont pris des risques, ils se sont mis en danger. Et ils ne s’attendaient sans doute pas à se retrouver eux aussi au commissariat pour témoigner.

En tant que maman, je reste très inquiète aujourd’hui. En quelques heures, des enfants, seuls, ont piégé un pédophile sur Internet ! Un homme d’une cinquantaine d’années qui sait qu’il parle à un enfant et qui lui demande d’avoir des rapports sexuels !

Je n’en reviens pas de la facilité avec laquelle Yanis a pu entrer en contact avec un individu pareil.»

Liens: http://www.nicematin.com/menton/comment-yanis-15-ans-a-piege-un-pedophile-a-menton.1729069.html

Auteur: Julie Baudin-Nice matin

Résumé: C'est l'histoire d'un enfant nommé Yanis qui se prend au jeu avec un agresseur et lui donne rendez vous à un point x puis enfin le petit alerte les autorités afin de capturer l'agresseur , pédophile , l'homme d'une cinquantaine d'années est arreté par les policiers . Quel héros ce petit Yanis et sa maman ne le cache pas .

 

9 mars 2015

les enfants en danger face à internet

Les dangers d'Internet pour les enfants largement relativisés

Le Monde.fr | 13.01.2011 à 17h21 • Mis à jour le 13.01.2011 à 19h37 | Par

Abonnez-vous
à partir de 1 €
Réagir Classer

Partager google + linkedin pinterest

Une enquête sociologique à très grande échelle (résultats complets en anglais et principales conclusions en français), menée dans 25 pays auprès de 25 140 internautes européens âgés de neuf à seize ans, tend à montrer que la plupart des dangers associés à Internet pour les plus jeunes sont généralement surestimés. Financée par la Commission européenne, pilotée par la London School of Economics, avec le CNRS pour l'enquête française, cette étude montre également que les parents ont souvent une appréciation erronée de ce que leurs enfants considèrent comme une expérience traumatisante ou désagréable.

Premier constat : Internet fait partie du quotidien des jeunes Européens, qui sont 93 % à s'y connecter au moins une fois par semaine. Et ils surfent de plus en plus tôt : l'âge moyen pour la première connexion varie d'un pays à l'autre, de sept ans en Suède à 8-9 ans en France. Surtout, cet âge tend à diminuer dans tous les pays.

Les 9-16 ans sont également adeptes des réseaux sociaux. 26 % des 9-10 ans sont inscrits sur un réseau social, et le chiffre passe à 81 % pour les 15-16 ans. Dans la plupart des cas, ces outils sont utilisés pour communiquer avec des personnes qu'ils connaissent déjà, même si 25 % des jeunes Européens discutent aussi avec des inconnus, principalement lors de jeux en ligne.

CONTENUS CHOQUANTS

L'enquête révèle que 21 % des 11-16 ans disent avoir été confrontés à des "contenus malsains" en ligne, une catégorie large qui englobe aussi bien des messages de haine que des contenus traitant du suicide, de la drogue ou de l'anorexie. Ce chiffre est particulièrement faible en France, où il n'atteint que 14 %. "Ce que l'on constate, c'est que dans les pays scandinaves, où l'usage d'Internet s'est développé depuis plus longtemps, ce taux est plus important, note Dominique Pasquier, responsable de la partie française de l'étude au CNRS. Ce sont aussi des pays où les modèles de régulation, la surveillance exercée par les parents sont plus 'laxistes' qu'en France ou en Allemagne, où le taux est comparable." L'étude montre également que ce chiffre est particulièrement élevé dans les pays d'Europe de l'Est, comme la République tchèque.

Surtout, et c'est l'un des principaux enseignements de l'enquête, ce qui constitue un contenu choquant ou une expérience traumatisante pour les adultes ne l'est pas forcément pour les enfants. Ainsi, 14 % des jeunes européens disent avoir vu des images pornographiques ou à caractère sexuel sur le Web, mais seul un tiers d'entre eux estime qu'il s'agissait d'une expérience pénible. "Les jeunes qui ont été perturbés par un problème sur Internet sont une petite minorité : seulement 8 % des 9-16 ans en France, et 12 % au niveau européen", note le CNRS.

Le phénomène le plus mal vécu par les jeunes Européens reste le harcèlement en ligne : si seuls 6 % des 9-16 ans disent avoir été victimes de ces messages, les deux tiers d'entre eux ont été "assez" ou "très" tracassés. Dans la majorité des cas, ces messages agressifs ne génèrent pas d'angoisses durables, seuls 6 % des victimes y pensant pendant plusieurs mois. "De plus, le harcèlement est plus fréquent en face à face (13 % des enfants) que sur Internet (6 %) ou par téléphone mobile (3 %)", précise le CNRS.

LE RÔLE DES PARENTS

Les chercheurs ont également analysé les relations entre parents et enfants au sujet d'Internet. Ces dernières sont "peu conflictuelles", concluent-ils, et "le récit qu'ils en font est beaucoup plus concordant [entre parents et enfants] que sur la télévision, où le déclaratif des enfants diffère souvent beaucoup de celui des enfants". Sans surprise, les amis (73 %) et les enseignants (76 % en France) font également partie des interlocuteurs des 9-16 ans pour discuter d'éventuels problèmes. Dans ses conclusions, l'étude recommande à la Commission européenne, qui a financé cette recherche, de mettre l'accent sur l'éducation des jeunes — et des parents — et le développement d'outils de contrôle parental.

Mais l'enquête fait apparaître aussi un étonnant paradoxe : si les parents ont tendance à surestimer le traumatisme que peut générer un contenu choquant, ils sous-estiment largement les types d'expérience qu'ont pu connaître leurs enfants. Ainsi, 40 % des parents dont les enfants ont vu des images sexuelles pensent que cela ne leur est pas arrivé, et ce chiffre monte à 56 % pour les destinataires de messages agressifs.

Liens: http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/01/13/les-dangers-d-internet-pour-les-enfants-largement-relativises_1464824_651865.html
Auteur: Damien Leloup-LeMonde
Résumé: Cet article , ecrit par Damien Leloup pour LeMonde , cite qu'internet est ancré dans le quotidien des jeunes européens entre 9 et 16 ans dont 26% des 9-10 ans sont sur les réseaux sociaux et 81% pour les 15-16ans. 21% des 11-16ans on été victimes des ''contenus malsains'' . Il dit aussi que le phenomene le plus mal vécu , par les jeunes , est le harcèlement en ligne. Dans tout ces dangers , un paradoxe intervient , 40% des parents ne croient pas que leurs ont eu à faire à des images sexuels ou encore 56% pour les messages d'harcèlement .
Publicité
Publicité
16 février 2015

les adolescents acteurs de la nuisance d'autrui sur internet ?

Image et e-réputation des adolescents sur Internet : campagne choc par Action Innocence

action innocenceL’ONG Action Innocence Monaco a lancé début janvier 2012 une campagne de sensibilisation choc à destination des adolescents, intitulée « Mettons des limites à l’illimité » sur la thématique du droit à l’oubli. L’association souhaite rappeler aux jeunes qu’ils sont responsables de leur image et de leur e-réputation en lançant cette nouvelle campagne de prévention.

Cette campagne de sensibilisation est née du constat selon lequel les enfants quel que soit leur âge n’ont pas tous conscience de la portée de leurs actes sur internet et de la pérennité de ces derniers dans le temps. L’ONG souligne qu’une nouvelle forme de violence plus sournoise que la violence physique existe à savoir la diffusion de photos dégradantes pour les victimes de ces faits. Dans ce contexte, il est important que l’enfant prenne conscience qu’à partir du moment où il envoie ou accepte qu’on envoie une photo de lui sur net il perd alors totalement le contrôle de son image et que cette dernière pourra le poursuivre pendant des années.

Deux visuels en campagne d’affichage sont présents dans la Principauté. L’agence qui a conçu ces affiches déclare avoir volontairement déranger : « pour un impact plus important sur une cible souvent non réceptive à ce type de messages. Nous mettons l’enfant face au danger réel du mobile si ce support n’est pas exploité pour son usage principal. Nous avons souhaité sensibiliser enfants et parents par la conséquence donc le résultat dramatique auquel nous pouvons être confrontés. Dans nos 2 visuels l’enfant est illustré en victime car il n’a pas conscience de son geste (…) Volontairement, nous associons le net et le mobile pour faire comprendre l’interaction qu’il est possible d’avoir entre ces 2 supports. »

2 visuels ont été créés : un masculin et un féminin pour bien faire comprendre que chaque sexe peut-être concerné. Le tutoiement est employé ainsi qu’un langage parlé pour que l’adolescent se sente directement associé au message.

La signature de l’affiche « mettons des limites à l’illimité » désire impliquer directement parents et enfants. Le message induit cette propagation « que l’on ne pourra plus contrôler et qui peut aller jusqu’à des situations dramatiques » (selon les propos de l’agence ComPlus).

Plus d’informations sur la campagne de sensibilisation d’Action Innocence Monaco : « Mettons des limites à l’illimité ».

 

Liens: http://www.netpublic.fr/2012/01/image-ereputation-adolescents-internet-campagne-choc-action-innocence/

Auteur:Action Innocence Monaco ; Jean-Luc Raymond Netpublic

Résumé:Cet article d' "Action Innocence Monaco" porte sur une campagne de sensibilisation sur les adolescents afin detopper l'hémoragie de la violence qui s'etend sur la toile du net par le biais des manipulations de certaines images , photos ou informations qui nuisent gravement à autrui sur un court ou surtout sur long terme . Ils ont pris 2 visuels  , un masculin et féminin car ce cas est présent dans les deux cas mais ils impliquent les parents afin de pouvoir "controler" leurs enfants et leurs gestes déplacés.

 

16 février 2015

les limites d'internet : introduction

Un grand nombres de personnes ont accès à internet aujourd'hui avec différentes facon de l'utiliser . Cette invention est en effet revolutionnaire , une vraie encyclopedie d'informations , de ressources , de   . Comme on peut le voir sur cette courbe ci-dessous , l'evolution d'utilisateurs , de cette toile, sur ces dernieres années sont gigantesques .

Malheureusement , Internet n'est pas synonyme de ''tout beau , tout rose '' , au jour d'aujourd'hui beaucoup d'horreurs et de liens choquants circulent librement sur Internet , qui souvent est deconseillé mais non censuré  ,  pouvant etre vue par toutes les catégories d'age , par les biais des reseaux sociaux (Facebook,Tweeter,Youtube) tout juste apparus sur ce réseau informatique et bien d'autres intermédiaires encore . Un problème de moins en moins en rare faisant de plus en plus parler le monde . Internet contient beaucoup d'utilisateurs dont certains qui violent la loi de son usage en délivrant des images , videos ou meme des articles pouvant atteindre à la personne . C'est pour cette raison que nous allons voir , ensemble , si nous devons fixer des limites à l'usage d'internet ?

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité